les talents
Arnold Hoche
Réalisateur
Étant enfant, Arnold avait deux choix de vie qui lui faisaient de l’œil :
1/ Devenir Spiderman !!!
2/ Faire du Cinéma !!!
Mais faute de pouvoir continuer à mettre ses pieds derrière sa tête après ses 7 ans, il se tourna vers le Cinéma. La suite vous la connaissez. Quoi ? Non ? Laissez-moi vous la raconter brièvement.
Choisir de travailler dans le cinéma fut la partie facile mais, très vite, il se rendit compte qu’un grand choix comme celui-là impliquait aussi de grandes responsabilités. La première fut de trouver les bonnes études, ce qui ne lui fut pas aisé : une prépa d’art, une école de jeu, l’École de la Cité en réalisation, tout était bon à prendre mais Arnold ne trouvait pas encore le lieu qui lui permettrait de faire ce qu’il voulait. Après avoir essayé donc plusieurs voies, il se dit que remettre ses collants serait peut-être finalement plus simple. Mais il persévéra jusqu’à s’inscrire à l’UQAT au Canada. Là, il rencontra un groupe d’étudiants avec qui il créa un collectif, KSET. C’est là qu’intervint la deuxième grande responsabilité qui allait avec son choix : celle de savoir mener un projet, fédérer une équipe et surtout, le plus dur, finir le travail commencé. Il se mit à réaliser des courts-métrages avec ce collectif. Mais l’ambition de tisser sa toile encore plus loin se faisait sentir. Ainsi, il captura ce collectif pour les lancer sur un projet de long-métrage. Ce projet partait de l’idée que le cinéma est avant tout une fabrication collective, avec les moyens du bord, et que son équipe était tout à fait capable de fabriquer une belle histoire, sans grands moyens, sans équipe parfaite, juste en sachant prendre le meilleur (et parfois le pire) de ce que chacun avait à donner. Et ainsi naquit B.O.B ou la Fin de l’Innocence, projeté pour la première fois en 2023, après une longue, douloureuse et splendide gestation.
En 2021, Arnold fit la rencontre d’une scénariste, Iris Hénaff, dont il partagea tout de suite l’appétence pour les films de genre et le chocolat. En moins de vingt-quatre heures, les deux commencèrent à tisser le fil de leurs prochaines collaborations.
Et ça, chers lecteurs.trices, ce n’est que le début de leurs Aventures !
Actrice & Scénographe
Comédienne et scénographe, Auriane mène une carrière professionnelle hors des sentiers battus. Diplômée en 2022 de l’Ecole nationale supérieure des Arts Décoratifs de Paris (EnsAD), elle perfore sa pratique du jeu par la scénographie. En parallèle de sa formation de scénographie, Auriane Robert se forme au jeu pendant trois ans auprès de Bertrand Schiro, puis entre au Conservatoire du Centre de Paris en art dramatique où elle étudie deux ans. Elle joue dans deux court-métrages réalisés par Lou Camille, Je suis toi (2020) et La nuit qui court (2021).
Après l’obtention de son diplôme à l’EnsAD en 2021, elle intègre l’académie de la Comédie-Française en qualité de scénographe. Elle y réalise plusieurs assistanats à la scénographie, auprès de Lila Meynard pour On ne sera jamais Alceste de Lisa Guez, auprès de Bruno de Lavenère
pour l’Avare de Lilo Baur, et auprès d’Eric Ruf pour le Mariage forcé de Louis Arene. lle joue
également dans la mini-série On va s’aimer produite par Les Films du Faubourg, et dans le court-métrage Sous nos costumes réalisé par Myriam Michon.
Par le regard singulier qu’elle porte sur le jeu et la scène, Auriane constitue l’une des étoiles montantes de la nouvelle génération du cinéma accompagnée par Sisteria Films.
barbara glas
Réalisatrice
Barbara a fait des études de cinéma à Paris 8 – VINCENNES-ST DENIS, où elle a étudié la prise de vues. A Paris 3- CENSIER- SORBONNE NOUVELLE, l’enseignement suivi a porté sur l’écriture du scénario et l’analyse de films. A L’UNIVERSITÉ DE PARIS NANTERRE, au cours de séminaires, elle a continué sa formation sur les aspects plus techniques de l’optique. En parallèle, elle a occupé divers emplois d’assistanat sur de nombreux plateaux de tournage. Elle a également écrit et mis en scène une pièce de théâtre.
Elle a commencé à jouer en tant qu’actrice en tant qu’enfant, puis a poursuivi à l’adolescence ensuite elle a été l’élève pendant 11 ans de Jack Waltzer, membre à vie de l’Actor’s Studio, ce qui lui permet aujourd’hui de savoir parfaitement diriger les acteurs.
En 2017 elle a écrit, réalisé et produit un court métrage de7 minutes en français JUSQU’A LA DERNIERE GOUTTE.
En 2018, au Royayme Uni et en anglais ODIN RIVER, sous forme de film trailer.
En 2019, toujours au R.U et en anglais SONGS OF THE DAY AFTER , un moyen métrage, pilote de la série homonyme en cours de préparation.
Ces 3 réalisations ont été couronnées par de nombreux prix dans des festivals internationaux.
En 2023 sortira un court métrage documentaire sur le Systema, un art martial Russe, ‘ SYSTEMA SURVIVAL ART ‘.
Camélia Gadhgadhi
Réalisatrice
Camélia Gadhgadhi est une cinéaste franco algérienne de 24 ans issue de banlieue
parisienne. Après un master cinéma et diverses expériences sur les plateaux elle écrit, réalise et produit son premier court-métrage “UNZARI” à Tokyo (distribué par Messina
Films). Elle travaille en tant qu’assistante mise en scène adjointe sur la série
“Oussekine” (diffusée par Disney+) et “66.5” (diffusée par Canal+). Elle réalise ensuite “La Nuit” à Paris (produit par Sisteria Films) et travaille en tant que coordinatrice d’écriture et assistante showrunners sur la série “La Maison” (diffusée par AppleTV). Camélia développe actuellement son premier long-métrage documentaire “Graine Amère” (produit
par Amok Films).
Pierre Sévin-Allouet
Réalisateur
Pierre est un réalisateur et scénariste passionné par le cinéma de genre et très cinéphile. Son Master Production/Distribution de l’ESRA l’amène à travailler dans différents secteurs de l’industrie cinématographique : en production chez Noodles Production, au CNC, ainsi qu’au sein de la rédaction du célèbre titre
Écran Total. Il réalise plusieurs courts-métrages de genre entre 2014 et 2018, comme Je suis la Mort ou la Vie, Je suis Blanche-Neige et Une idée de génie, présentés au Nikon Film Festival. Son court-métrage Red Glowing, produit par
Sisteria Films, remarqué en festivals (Il récolte plus d’une vingtaine de prix) marque l’arrivée dans sa filmographie d’un personnage féminin haut en couleur. Une marque d’écriture inédite, qui donne une touche très originale à sa filmographie, et qui revisite le cinéma de genre sous un angle féminin inédit. Sa suite, Red Dawn, est actuellement en développement.
tea romanella
Réalisatrice
Cyprien JEANCOLAS
Réalisateur & directeur de la photographie
Réaliser et être à la photographie est pour lui une évidence : la composition d’un visuel, d’un rythme et d’une ambiance viennent mettre en forme les histoires qu’il écrit. Il aborde dans ses films des thèmes qui lui sont chers, comme la solitude, la famille, le lien social et surtout la recherche de soi- même. Grand passionné des nouvelles françaises, il met en avant un style complexe et névrosé, afin d’accompagner des personnages troublés mais exultant un amour de la vie marqué. Son court-métrage Tapage Nocturne, produit par Sisteria Films, devient le premier pas d’une nouvelle ère pour lui. Derrière l’aventure d’une jeune femme prête à tout pour rencontrer des aliens se cache un cri de frustration : l’envie folle et irraisonnable d’une passionnée qui cherche à tout prix à marquer l’histoire de son passage, parce qu’elle ne se sent pas à sa place chez elle. Comme son personnage, Cyprien rêve de partager sa passion et sa lumière.
Réalisatrice
Margaux Bennini est une réalisatrice née a Paris d’une mère psychologue et d’un père gérant de magasin. Elle a très vite montré un goût particulier pour le spectacle, les histoires et l’humain. Une anecdote, que lui rappellera sa mère plus tard, illustre bien sa jeune ferveur pour le Cinéma, art qui lui permettrait de combiner ses passions : à 8 ans, elle a appelé plusieurs boites de production dans l’optique de leur proposer un scénario.
Touche à tout, à la recherche de son art préféré, Margaux fait du théâtre, du violon, de la danse, de la calligraphie et passe ses cours à écrire des traitements.
Assoiffée d’aventure, transmise par ses parents voyageurs, elle part vivre à Tokyo à l’aube de ses 19 ans. Là-bas, Margaux participe a de nombreux tournages en tant que talent et est immediatement tombée amoureuse de !’ambiance des plateaux.
Au bout de quelques années, elle se rapproche d’un vidéaste français établi au Japon, Roman Kasei. Elle l’assiste à la production & mise en scène de clips et de documentaires. La vie étant ce qu’elle est, elle rentre en France en 2017 pour de nombreuses raisons, ce qui toutefois lui offre un chemin vers la fiction. Margaux a réalisé un court-métrage muet au Japon, in blue, red and yellow en 2016; elle créé une association, Look At The Screen, avec laquelle elle réalise DELTA en 2019; enfin, elle réalise deux courts métrages à l’école : une co-réalisation avec Antoine Lippens, Inmacculata, voté comme meilleur film par les élèves de l’école; et tout est vide.
Depuis, Margaux expérimente ses passions à travers la réalisation, en intervenant auprès du programme «Les Enfants des Lumières» et en décoration avec de nombreux projets où elle occupe le poste de cheffe déco en fiction, clip et publicité.
Margaux reste une touche à tout et s’épanouit, enfin, dans le monde du cinéma.
Réalisatrice
Margaux Bennini est une réalisatrice née a Paris d’une mère psychologue et d’un père gérant de magasin. Elle a très vite montré un goût particulier pour le spectacle, les histoires et l’humain. Une anecdote, que lui rappellera sa mère plus tard, illustre bien sa jeune ferveur pour le Cinéma, art qui lui permettrait de combiner ses passions : à 8 ans, elle a appelé plusieurs boites de production dans l’optique de leur proposer un scénario.
Touche à tout, à la recherche de son art préféré, Margaux fait du théâtre, du violon, de la danse, de la calligraphie et passe ses cours à écrire des traitements.
Assoiffée d’aventure, transmise par ses parents voyageurs, elle part vivre à Tokyo à l’aube de ses 19 ans. Là-bas, Margaux participe a de nombreux tournages en tant que talent et est immediatement tombée amoureuse de !’ambiance des plateaux.
Au bout de quelques années, elle se rapproche d’un vidéaste français établi au Japon, Roman Kasei. Elle l’assiste à la production & mise en scène de clips et de documentaires. La vie étant ce qu’elle est, elle rentre en France en 2017 pour de nombreuses raisons, ce qui toutefois lui offre un chemin vers la fiction. Margaux a réalisé un court-métrage muet au Japon, in blue, red and yellow en 2016; elle créé une association, Look At The Screen, avec laquelle elle réalise DELTA en 2019; enfin, elle réalise deux courts métrages à l’école : une co-réalisation avec Antoine Lippens, Inmacculata, voté comme meilleur film par les élèves de l’école; et tout est vide.
Depuis, Margaux expérimente ses passions à travers la réalisation, en intervenant auprès du programme «Les Enfants des Lumières» et en décoration avec de nombreux projets où elle occupe le poste de cheffe déco en fiction, clip et publicité.
Margaux reste une touche à tout et s’épanouit, enfin, dans le monde du cinéma.
Réalisatrice
Margaux Bennini est une réalisatrice née a Paris d’une mère psychologue et d’un père gérant de magasin. Elle a très vite montré un goût particulier pour le spectacle, les histoires et l’humain. Une anecdote, que lui rappellera sa mère plus tard, illustre bien sa jeune ferveur pour le Cinéma, art qui lui permettrait de combiner ses passions : à 8 ans, elle a appelé plusieurs boites de production dans l’optique de leur proposer un scénario.
Touche à tout, à la recherche de son art préféré, Margaux fait du théâtre, du violon, de la danse, de la calligraphie et passe ses cours à écrire des traitements.
Assoiffée d’aventure, transmise par ses parents voyageurs, elle part vivre à Tokyo à l’aube de ses 19 ans. Là-bas, Margaux participe a de nombreux tournages en tant que talent et est immediatement tombée amoureuse de !’ambiance des plateaux.
Au bout de quelques années, elle se rapproche d’un vidéaste français établi au Japon, Roman Kasei. Elle l’assiste à la production & mise en scène de clips et de documentaires. La vie étant ce qu’elle est, elle rentre en France en 2017 pour de nombreuses raisons, ce qui toutefois lui offre un chemin vers la fiction. Margaux a réalisé un court-métrage muet au Japon, in blue, red and yellow en 2016; elle créé une association, Look At The Screen, avec laquelle elle réalise DELTA en 2019; enfin, elle réalise deux courts métrages à l’école : une co-réalisation avec Antoine Lippens, Inmacculata, voté comme meilleur film par les élèves de l’école; et tout est vide.
Depuis, Margaux expérimente ses passions à travers la réalisation, en intervenant auprès du programme «Les Enfants des Lumières» et en décoration avec de nombreux projets où elle occupe le poste de cheffe déco en fiction, clip et publicité.
Margaux reste une touche à tout et s’épanouit, enfin, dans le monde du cinéma.